Archive pour la catégorie : Non classé

Le laboratoire actuellement situé au Centre commercial de Bellevue. Boulevard de la Marne à Fort de France  sera fermé le samedi 2 Septembre 2017 pour cause de déménagement.

Nouvelle adresse à partir du lundi 4 septembre 2017 
Cité Ozanam. La Batelière. 97233 Schoelcher

(Près du Géant Casino et de la poste de Batelière)

Les horaires d’ouverture
Du lundi au vendredi : 06H00-17H00
Le samedi : 06H30-12H00

Les autres coordonnées sont inchangées

tél : 05.96.61.74.57   fax : 05.96.61.59.46
email : labo.bellevue@biolabmartinique.fr

 

 

Le plateau technique de nouvelle génération de bactériologie situé au Lorrain se dote des dernières technologies de pointes!

Parmi les dernières installations :

• 1 Spectromètre de masse (VITEK® MS) permettant une identification microbienne de très haute performance avec un résultat en quelques minutes. Cet automate de dernière génération est le premier installé en Martinique.
• 1 Ensemenceur automatique (WASP®), cet automate également de dernière génération, le 1er installé en outre-mer, permet d’ensemencer les prélèvements de bactériologie avec une grande fiabilité et une traçabilité optimale.

Le plateau technique de bactériologie du Lorrain s’est également équipé d’une nouvelle technologie, la biologie moléculaire avec l’arrivée de deux nouveaux automates de chez Abbott® (m2000sp® et m2000rt).

Ces techniques moléculaires se basent sur l’analyse de l’ADN ou de l’ARN des pathogènes recherchés et prennent une place incontournable dans la stratégie diagnostique des cliniciens.

Nous sommes aujourd’hui en capacité de détecter des Infections sexuellement transmissibles (IST) par cette technique de référence : Chlamydia trachomatis et Neisseria gonorrhoeae.

 

Par ailleurs, toujours dans un souci de service rendu à notre patientèle et confrères praticiens, nous finalisons la recherche des arboviroses (Dengue, Zika, Chikungunya) par Biologie moléculaire en cas de nouvelle épidémie.

 

 

Rappel sur la maladie

Les symptômes se caractérisent par une éruption cutanée avec ou sans fièvre, fatigue, douleurs musculaires et articulaires, conjonctivite, maux de tête et douleurs rétro-orbitaires.

Un grand nombre de personnes infectées ne vont présenter aucun symptôme (de l’ordre de 80 %). Le traitement est symptomatique et la guérison intervient au bout de quelques jours dans la grande majorité des cas, seon les médecins.

Cependant, des complications neurologiques peuvent apparaître notamment le syndrome de Guillain-Barré, maladie caractérisée par une atteinte des nerfs périphériques, qui a été décrit au Brésil et en Polynésie française.

Dans ces territoires, des microcéphalies et des anomalies du développement cérébral intra-utérin ont également été observées chez des fœtus et des nouveaux nés de mères enceintes pendant la période épidémique.

Deux premiers cas de personnes contaminées par le virus Zika ont été identifiés en Guyane et en Martinique, a annoncé, samedi 19 décembre, le ministère de la santé.

Le zika est une maladie dont le virus est transmis par les moustiques. Il appartient à la même famille que la dengue. Le zika sévit principalement dans l’ensemble de la zone intertropicale.

Ce nouveau virus, proche de ceux de la dengue et du chikungunya, est transmis par les moustiques du type Aedes albopictus , dont le plus connu est fameux le moustique tigre.
Les symptômes du zika sont le plus souvent de type grippal (fièvre, maux de tête, courbatures, yeux rouges..) avec des éruptions cutanées. Ils se manifestent dans les 3 à 12 jours qui suivent la piqûre par le moustique contaminé.Le zika peut également se manifester par une conjonctivite ou par une douleur derrière les yeux, ainsi que par un oedème des mains et/ou des pieds. Il n’existe ni traitement curatif ni vaccin, et le seul traitement est symptomatique (prise en charge des symptômes).
Les autorités sanitaires recommandent de se protéger contre les piqûres de moustique, y compris dans la journée.
Les femmes enceintes sont particulièrement à risque, puisque susceptibles de développer des malformations congénitales. Elles doivent  consulter leur médecin pour assurer un suivi, si elles résident ou se rendent dans des zones où le virus est présent.